Petite fable affable sur une idée de Ch. Perrault
Un jour, le duc fut battu à mort
Car, comme oiseau, il avait le tort,
Au regard des autres volatiles,
D’avoir un vilain chant et, futile,
D’arborer un plumage fort laid.
Il était une honte, une plaie,…
Pour contrer cette vile engeance
Qui le soucie, point de vengeance.
Non pas. Ce hibou vit la nuit,
Garante de fort moindres ennuis
Et, mieux, sans conteste il y règne
Tant les autres ailés la craignent.
Face au mal et qui y concourt,
Le courroux est vain : prends-les de court !
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