Rien, ici bas, ne vaut le chocolat.
C’est l’acmé des mets. Une providence.
Qu’on fasse de ce régal tout un plat,
Et même plusieurs, m’est une évidence.
Je succombe à ce délice sans prudence.
Y renoncer tient de l’apostolat.
Tant pis si en naît une dépendance,
Rien, ici bas, ne vaut le chocolat.
Est-il un parfum qui ait plus d’éclat ?
Est-il donc saveur en bouche plus dense ?
Le chocolat fait se damner les prélats :
C’est l’acmé des mets. Une providence.
Rien d’étonnant, soit dit en confidence,
Que l’on s’en délecte sans tralala
Et puis, même si ce n’est pas « tendance »,
Qu’on fasse de ce régal tout un plat.
Quand je suis stressé ou, pis, raplapla,
Chaud ou en morceau, en toute impudence
En croquer une fois pour mon soulas,
Et même plusieurs, m’est une évidence.
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