En philanthrope sincère et monarchiste ouvert,
Tu voulais, tel l’été au cœur de l’hiver,
Réformer les abus au-delà des mots
Mais connus milles traverses et tous les maux.
Hérissant fort tes geôliers si grimaux,
Tu gardas toujours ce calme et ces souris
Qu’on retrouve en tes fables*. Sacré pari !
* Fables de Louis-Jules Mancini-Mazarini publiées par l’auteur, 1796.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire