Il y a tant d’univers dans ce beau monde
Qu’est celui des fables, autant que d’auteurs,
Mais tous tendent à philosopher sans hauteur,
À témoigner sur les tares qui abondent
Et les vertus qui résistent aux vils fauteurs
De troubles aux vains facteurs d’ennuis, sauteurs
De ruisseaux qui rendent, las, tout immonde…
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