D’Ésope à Phèdre, d’Abstémius à Pilpay,
Les fables voyagent dans le temps et l’espace,
Naissent ici, renaissent là, jamais trahies
Dans leur esprit. Et lors, le lecteur ébahi,
Touche à l’Universel et voit l’Homme, ce rapace
À la vie d’impasses, sous toute carapace,
Toujours égal à lui-même et pourtant pas haï.
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