Petite fable affable sur un aphorisme de Francis B.
Il est des vieux fossiles,
Toujours donneurs de leçons,
Pour qui tout est facile
Et le disent sans façon.
Un vieux et gras coucou,
Authentique parasite,
Sans se gêner beaucoup,
Prétextant une visite,
Un certain mois de mai,
S’invita à jamais
Chez un voisin néophyte
Qu’il prenait pour bêta,
Blanc-bec, béjaune et bleu-bite,
Hibou de son état.
Notre imposant jésuite,
Ayant là gîte et couvert,
Dicte à l’autre conduite
À tenir ; à bec-ouvert,
En tout, il le conseille,
Pour tout, il le surveille.
Et, sublime travers,
Pour rien, cet égoïste
Ne l’aide : été ou hiver,
En rien, il ne l’assiste.
Pendant ce temps, son hôte,
Traquait le ver et l’épeautre
À se rompre les côtes,
Lui offrant, pour tout patenôtre,
Une mine coincée
Ou une moue pincée.
« C’est que le travail des autres,
N’a jamais fatigué
Personne, Mon bon apôtre ! »
Expliqua le pas gai
À bout de patience
Quand l’autre oiseau se plaignit,
Non sans inconscience,
D’une telle compagnie !
Toujours donneurs de leçons,
Pour qui tout est facile
Et le disent sans façon.
Un vieux et gras coucou,
Authentique parasite,
Sans se gêner beaucoup,
Prétextant une visite,
Un certain mois de mai,
S’invita à jamais
Chez un voisin néophyte
Qu’il prenait pour bêta,
Blanc-bec, béjaune et bleu-bite,
Hibou de son état.
Notre imposant jésuite,
Ayant là gîte et couvert,
Dicte à l’autre conduite
À tenir ; à bec-ouvert,
En tout, il le conseille,
Pour tout, il le surveille.
Et, sublime travers,
Pour rien, cet égoïste
Ne l’aide : été ou hiver,
En rien, il ne l’assiste.
Pendant ce temps, son hôte,
Traquait le ver et l’épeautre
À se rompre les côtes,
Lui offrant, pour tout patenôtre,
Une mine coincée
Ou une moue pincée.
« C’est que le travail des autres,
N’a jamais fatigué
Personne, Mon bon apôtre ! »
Expliqua le pas gai
À bout de patience
Quand l’autre oiseau se plaignit,
Non sans inconscience,
D’une telle compagnie !
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