Le soleil me brûle les yeux,
Et le vent gèle plus ma peau,…
Ils étaient si doux aux aïeux
Qui n'portaient que des oripeaux
Quand on voit tous nos merveilleux
Progrès, en tous lieux radieux,
La modernité qui nous fait Dieux.
Va-t-on forfaire,
Et à la beauté dire adieu
Sans rien parfaire ?
Boire de l’eau est périlleux,
Respirer pas de tout repos,…
C’était si bon pour nos aïeux,
Qui ne vivaient pas en troupeau,
Dans des villes et leurs banlieues,
Où richesse rend dispendieux,
Développement, oublieux
De c’qu’il faut faire,
Et l’aisance moins pointilleux
Sur c’qu’on doit faire.
Doit-on de ce mal insidieux
Se satisfaire ?
Peut-on sauver mer, terre et cieux
Sans tout défaire !
Et à la beauté dire adieu
Sans rien parfaire ?
Boire de l’eau est périlleux,
Respirer pas de tout repos,…
C’était si bon pour nos aïeux,
Qui ne vivaient pas en troupeau,
Dans des villes et leurs banlieues,
Où richesse rend dispendieux,
Développement, oublieux
De c’qu’il faut faire,
Et l’aisance moins pointilleux
Sur c’qu’on doit faire.
Doit-on de ce mal insidieux
Se satisfaire ?
Peut-on sauver mer, terre et cieux
Sans tout défaire !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire