À Françoise
Je voulais rendre un fervent hommage
À celle qui connaît le mieux mes écrits,
Annote et corrige mes humbles manuscrits,
Amie qui fait que ma plume a quelque ramage…
À celle qui connaît le mieux mes écrits,
Je dois quelques vers faits, ce jour, à la chandelle ;
À qui, sans faillir ni trembler, reste fidèle,
Annote et corrige mes humbles manuscrits
Je dois quelques vers faits, ce jour, à la chandelle
À sa patience aimable, à nos facéties.
Je lui sais gré, lui redis mille mercis
À qui, sans faillir ni trembler, reste fidèle.
À sa patience aimable, à nos facéties,
Je voulais rendre un fervent hommage,
Amie qui fait que ma plume a quelque ramage
Je lui sais gré, lui redis mille mercis !
À celle qui connaît le mieux mes écrits,
Annote et corrige mes humbles manuscrits,
Amie qui fait que ma plume a quelque ramage…
À celle qui connaît le mieux mes écrits,
Je dois quelques vers faits, ce jour, à la chandelle ;
À qui, sans faillir ni trembler, reste fidèle,
Annote et corrige mes humbles manuscrits
Je dois quelques vers faits, ce jour, à la chandelle
À sa patience aimable, à nos facéties.
Je lui sais gré, lui redis mille mercis
À qui, sans faillir ni trembler, reste fidèle.
À sa patience aimable, à nos facéties,
Je voulais rendre un fervent hommage,
Amie qui fait que ma plume a quelque ramage
Je lui sais gré, lui redis mille mercis !
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