À la première ondée venue,
S’est attendri le doux tapis
De verts flapis ou assoupis,
Brodé de fleurs menues, ténues,
Sous des arbres nus et chenus
Balayant des nues décrépies.
À la première ondée venue,
S’est attendri le doux tapis
Que foulent des nouveaux-venus
Et que frôlent ailes qui pépient
Sans dépit, trillent sans répit,…
La vie est enfin revenue,
À la première ondée venue…
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