Detroit est ma ville fantôme,
Sans auto sur voie donc sans vie,
Où errent encore quelques hommes
À qui la Crise a pris, ravi,
Leur boulot, leur toit, leurs envies,…
Et leur famille
Chacun est ombre qui survit.
Vide coquille.
Detroit n’est plus home sweet home,
Sans auto et donc asservie
À un rythme plus économe,
Où chaque jour vous est servi
Sans boulot, sans toit, sans envie,…
Tout s’dégoupille.
Chacun fait nombre, va, suivi,…
Rien n’y fourmille.
Detroit, désormais, est sans vie :
Portes ou grilles
Disent que la Crise a sévit,
Vous fait pupille…
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