Gars, si ta belle est une vraie garce
Qui a tous tes voisins pour comparses,
Pas de cri, va, souris !
Si pour être à toi, faut qu’on la force
Ne va pas demander le divorce
Pas aigri, tu en ris !
Mec, si de mensonges elle te berce,
Ne cogne pas sur cette gerce,
Pas de cri, va, souris !
Même si elle pille ta bourse
Sans jamais s’occuper de tes bourses,
Pas aigri, tu en ris !
Pas un cri, de hauts cris :
Grain de riz, tu souris
Ou tu ris, pas aigri :
Tout tarit quand on rit !
Gus, son humeur est celle d’une ourse,
Ses colères coulant comme source,
Toi, souris ou bien ris !
Ne fuis pas son commerce
Même si un meuble elle renverse :
Ces Marie, ça barrit !
Gars, si tes jours tournent à la farce
Que t’as l’humour en loques éparses
Par pari, tu en ris :
Ou, sans cri, tu souris ;
N’lui casse ni les pieds ni les tarses ;
Sois patient, habile comme un marse !
Pas un cri, de hauts cris,
Pas marri, tu souris !
C’est sans prix, pas de bris,
Pas de gris, tu souris
Ou tu ris, bon mari :
Tout tarit quand on rit !
Fils, que tout devienne controverse
Ou chaque jour pluie d’averse,
Pas un cri, de hauts cris !
Qu’elle soit ruse perverse
Ou bien une flèche perse,
Va, souris ou bien ris.
Et si, d’aventure, ça se corse
Que t’as envie de briser l’écorce,
Oui souris ou, mieux, ris :
Il est des poisons lents qui te hersent
Ces bubons-ci, et sans bruit, les percent.
Pas de tri pour ces souris !
Qui a tous tes voisins pour comparses,
Pas de cri, va, souris !
Si pour être à toi, faut qu’on la force
Ne va pas demander le divorce
Pas aigri, tu en ris !
Mec, si de mensonges elle te berce,
Ne cogne pas sur cette gerce,
Pas de cri, va, souris !
Même si elle pille ta bourse
Sans jamais s’occuper de tes bourses,
Pas aigri, tu en ris !
Pas un cri, de hauts cris :
Grain de riz, tu souris
Ou tu ris, pas aigri :
Tout tarit quand on rit !
Gus, son humeur est celle d’une ourse,
Ses colères coulant comme source,
Toi, souris ou bien ris !
Ne fuis pas son commerce
Même si un meuble elle renverse :
Ces Marie, ça barrit !
Gars, si tes jours tournent à la farce
Que t’as l’humour en loques éparses
Par pari, tu en ris :
Ou, sans cri, tu souris ;
N’lui casse ni les pieds ni les tarses ;
Sois patient, habile comme un marse !
Pas un cri, de hauts cris,
Pas marri, tu souris !
C’est sans prix, pas de bris,
Pas de gris, tu souris
Ou tu ris, bon mari :
Tout tarit quand on rit !
Fils, que tout devienne controverse
Ou chaque jour pluie d’averse,
Pas un cri, de hauts cris !
Qu’elle soit ruse perverse
Ou bien une flèche perse,
Va, souris ou bien ris.
Et si, d’aventure, ça se corse
Que t’as envie de briser l’écorce,
Oui souris ou, mieux, ris :
Il est des poisons lents qui te hersent
Ces bubons-ci, et sans bruit, les percent.
Pas de tri pour ces souris !
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