Comme il n’est dans nos années que quatre saisons,
Des cheveux que l’on puisse couper en quatre,
Il n’existerait ici bas que quatre
Choses qui, bien que sans comparaison
Entre elles, ne peuvent ait-on à se battre
Qu’arriver à terme, parfois à déraison…
Il en va ainsi, ma foi, de la confiance
Trahie qui n’accouchera que de défiances
Comme du mot que l’on dit, trop vite ou trop tôt,
Et qui engendrera un conflit bientôt ;
Et l’occasion qu’on a ratée ne repasse
Plus jamais à portée jusqu’à ce qu’on trépasse
Alors que le temps que l’on a, un jour, perdu
Ne se retrouve pas plus, aux limbes pendu…
Oui, comme il n’est dans l’années que quatre saisons,
Que l’on se plie en deux, las, en trois voire en quatre,
Il n’existe bien ici bas, l’ami, quatre
Choses qui, quoique sans nulle comparaison
Entre elles, inutile pour cela de se battre,
Ne se récupèrent pas !… N’ai-je raison ?
Des cheveux que l’on puisse couper en quatre,
Il n’existerait ici bas que quatre
Choses qui, bien que sans comparaison
Entre elles, ne peuvent ait-on à se battre
Qu’arriver à terme, parfois à déraison…
Il en va ainsi, ma foi, de la confiance
Trahie qui n’accouchera que de défiances
Comme du mot que l’on dit, trop vite ou trop tôt,
Et qui engendrera un conflit bientôt ;
Et l’occasion qu’on a ratée ne repasse
Plus jamais à portée jusqu’à ce qu’on trépasse
Alors que le temps que l’on a, un jour, perdu
Ne se retrouve pas plus, aux limbes pendu…
Oui, comme il n’est dans l’années que quatre saisons,
Que l’on se plie en deux, las, en trois voire en quatre,
Il n’existe bien ici bas, l’ami, quatre
Choses qui, quoique sans nulle comparaison
Entre elles, inutile pour cela de se battre,
Ne se récupèrent pas !… N’ai-je raison ?
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