Cycle toulousain
« Le poète est un monde enfermé dans un homme » (V. Hugo)
« Le poète est un monde enfermé dans un homme » (V. Hugo)
Je ne verrai plus ce petit coin de rue
Que ma mémoire lasse a rendue giboyeuse
D’aubes ensoleillées ou de soirées joyeuses,
Aujourd’hui révolues, et presque incongrues.
Je l’ai tant couru, et parcouru, étant « drole »,
Je ne verrais plus ce petit coin de rue
Jadis, tout en cabrioles et en rocamboles.
Je ne verrai plus ce petit coin de rue.
Dans tous ses regards défilaient mes années folles,
Il me les rendait au présent et fort ventrues…
Je ne verrai plus ce petit coin de rue,
Là où mon enfance a poussé, insoucieuse,
Où ma jeunesse a joué, tendre et chamailleuse,
Puis, dans un sourire et un baiser, disparu.
Que ma mémoire lasse a rendue giboyeuse
D’aubes ensoleillées ou de soirées joyeuses,
Aujourd’hui révolues, et presque incongrues.
Je l’ai tant couru, et parcouru, étant « drole »,
Je ne verrais plus ce petit coin de rue
Jadis, tout en cabrioles et en rocamboles.
Je ne verrai plus ce petit coin de rue.
Dans tous ses regards défilaient mes années folles,
Il me les rendait au présent et fort ventrues…
Je ne verrai plus ce petit coin de rue,
Là où mon enfance a poussé, insoucieuse,
Où ma jeunesse a joué, tendre et chamailleuse,
Puis, dans un sourire et un baiser, disparu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire