Je suis aimée, voilà ma chance,
Par deux hommes. C’est épuisant !
Entre les deux mon cœur balance :
Le samouraï ? Le paysan ?
Le premier a bel alezan,
Le second des champs, soi-disant.
Nobless’ ? Roture ?
Je dois faire, tout bien pesant,
Un choix mature.
Le paysan est vieux et rance
Et le guerrier fort séduisant.
L’un n’est que paix, faix, endurance
Et manières. C’ets reposant.
L’autre est plaisant mais suffisant,
Court l’aventure,…
J’hésite : riz et faisan
Ou gross’ pointure ?
Trancher est dur et déplaisant.
Que d’conjectures !
Je serai, c’est bien plus grisant,
À qui m’capture !
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