Adieu Marie !
Tu as fuis Paris
Et un vieux mari,
Qui n’aurait pas ri,
Que tu l’aies vaincu
Et fut fort marri,
Ce doux Lipari,
D’être ainsi cocu.
Ah, quelle avarie ;
Du hors gabarit
Fill’ de Zingari !
Adieu Marie,
Au cœur froid, tari ;
Dessous ton sari,
Bien des scenarii
J’ai fait et vécu ;
Tendres safaris.
Cruel’ barbarie,
Pour quelques écus,
Les femmes varient ;
Pire, vous charrient
Quand ell’ vous marient.
Adieu Marie,
Tant de gens parient
Sur toi, j’en barris
Comme une otarie ;
Sois bien convaincue,
Ma Rastafari,
Ma Mata Hari,… :
Que finir sur le cul,
Oui, ça m’équarrit
Et jusqu’aux caries !
D’mande à Hilary…
Adieu Marie,
Mon p’tit canari,…
Que de hourvaris,
De charivaris,
On aura vécu,
Avec l’gars Gary,
Le fan de muscu’,
Et l’bouffeur de caris,
Le trop bel Harry,
Un gars d’Bulgarie.
Adieu Marie !
Que ton Qatari,
Fils de méhari,
Amant ou mari,
T’emmène à Paris.
Il y sera cocu,
Avec Pierre ou Larry,
L’homme au panari !
Moi, J’ai revécu,
Malgré toi, Marie,
Auprès d’Carrie,
Oui, ta sœur, Marie !
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