Las, revenu à nous comme il est de tout, sans être
Allé nulle part, Frère Sourire revient.
Le retour inévitable, tout en paraître,
De cet être irremplaçable est, comme il convient,
Fêter par ses amis d’hier, sbire et reitres
Trop grand pour nous être poli, Crâne d’Obtus,
Il a ce que donnent les réussites faciles,
L’exploit sans panache et la vertu court vêtue :
L’arrogance envers le laborieux imbécile
Et la servilité pour le maître in-situ.
Il est toujours plus convaincu de son charisme,
Pénétré plus encor’ de sa propre importance,
Pour un peu, il aurait appris, non sans gargarisme,
Aux poules à pondre et aux perroquets la jactance.
Pour voir le monde son ego lui est un prisme.
Trop grand pour nous être poli, Crâne d’Obtus,
Nous valait tous du haut de son mètre plus trente,
Enivré du talent qu’il se prêtait, têtu,
Et grisé du mépris qu’il nous offrait pour rente
Il prétendait nous remplacer à l’impromptu…
Oui, lui dont on ne savait s’il faisait la gueule
Car il était cocu ou si d’être cornu
Le rendait à son contemporain si bégueule,
Profita d’une maladie advenue
Pour proposer ses services comme amuse-gueule…
Trop grand pour nous être poli, Crâne d’Obtus
Pensait démonter le travail de son collègue
Qu’il méprise en marchant, moins velu que pattu,
Sur ses brisées pour prouver là ce qu’il allègue :
Qu'il est le meilleur et mérite une statue !
On accepta en haut lieu son idée : victoire !
Trop tôt savourée car en voulant faire mieux
Il oublia de faire bien croyant l’histoire
Qui dit que là où l’âne s’arrête, mon vieux,
Un aussi Bon Père que lui passe, Pétoire !
Il est encore moins poli, Crâne d’Obtus,
Lui, pour qui le second n’est que, c’est notoire
Que le premier des derniers, un battu !
Il a échoué, et tout seul, c’est méritoire,
Et s’est discrédité mais n’est pas abattu.
Notre Frère Sourire ayant bu cette amère
Cigüe jusqu’à lie accusa en bon lieu
L’absent de retour d’avoir saboté, chimère !,
Sa venue puis sabordé son boulot, Bon Dieu !,
À peine revenu. Et qui crut-on, Ma mère ?
Trop grand pour nous être poli, Crâne d’Obtus
Obligé de nous regarder, ce qui l’éprouve,
Car il ne peut pas nous voir, insignes fétus
Ou étrons libres, a toujours plus d’amis qu’il trouve
Sur Facebook où il parcourt ses chemins battus.
Allé nulle part, Frère Sourire revient.
Le retour inévitable, tout en paraître,
De cet être irremplaçable est, comme il convient,
Fêter par ses amis d’hier, sbire et reitres
Trop grand pour nous être poli, Crâne d’Obtus,
Il a ce que donnent les réussites faciles,
L’exploit sans panache et la vertu court vêtue :
L’arrogance envers le laborieux imbécile
Et la servilité pour le maître in-situ.
Il est toujours plus convaincu de son charisme,
Pénétré plus encor’ de sa propre importance,
Pour un peu, il aurait appris, non sans gargarisme,
Aux poules à pondre et aux perroquets la jactance.
Pour voir le monde son ego lui est un prisme.
Trop grand pour nous être poli, Crâne d’Obtus,
Nous valait tous du haut de son mètre plus trente,
Enivré du talent qu’il se prêtait, têtu,
Et grisé du mépris qu’il nous offrait pour rente
Il prétendait nous remplacer à l’impromptu…
Oui, lui dont on ne savait s’il faisait la gueule
Car il était cocu ou si d’être cornu
Le rendait à son contemporain si bégueule,
Profita d’une maladie advenue
Pour proposer ses services comme amuse-gueule…
Trop grand pour nous être poli, Crâne d’Obtus
Pensait démonter le travail de son collègue
Qu’il méprise en marchant, moins velu que pattu,
Sur ses brisées pour prouver là ce qu’il allègue :
Qu'il est le meilleur et mérite une statue !
On accepta en haut lieu son idée : victoire !
Trop tôt savourée car en voulant faire mieux
Il oublia de faire bien croyant l’histoire
Qui dit que là où l’âne s’arrête, mon vieux,
Un aussi Bon Père que lui passe, Pétoire !
Il est encore moins poli, Crâne d’Obtus,
Lui, pour qui le second n’est que, c’est notoire
Que le premier des derniers, un battu !
Il a échoué, et tout seul, c’est méritoire,
Et s’est discrédité mais n’est pas abattu.
Notre Frère Sourire ayant bu cette amère
Cigüe jusqu’à lie accusa en bon lieu
L’absent de retour d’avoir saboté, chimère !,
Sa venue puis sabordé son boulot, Bon Dieu !,
À peine revenu. Et qui crut-on, Ma mère ?
Trop grand pour nous être poli, Crâne d’Obtus
Obligé de nous regarder, ce qui l’éprouve,
Car il ne peut pas nous voir, insignes fétus
Ou étrons libres, a toujours plus d’amis qu’il trouve
Sur Facebook où il parcourt ses chemins battus.
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