Petite fable affable
Eh, Le père Noël ne passera pas
Cette année à la fin de votre repas.
Réveillonnez, amusez-vous en famille
Riez sous le gui et le houx en ramille,
Allumez votre cheminée à grand feu,
Il ne viendra pas, au cœur du silence,
La ramoner, bousculer le pare-feu
Au pied du sapin qui fait vigilance,
Pour déposer ses cadeaux et ses présents
Ses rennes n’sont pas pourtant agonisants…
Oc, le père Noël ne passera pas,
C’est sûr. Ne laissez donc pas à ce sherpa
De quoi se restaurer, là, ni même boire,
Les souris en useraient comme pourboire !
Il ne serait malade ni en prison
Mais aucun de ses nains fidèles n’arrive
À le faire revenir à la raison.
Plus les jours vont, plus il va à la dérive.
La fête sera fort triste cette année ;
Son absence peut même la condamner.
Si notre vieux Noël ne passe pas
C’est qu’hélas les enfants… n’existeraient pas.
Enfin plus. On le lui a dit. Sympathique !
À quoi bon traîneau, jouets, froid ou éthique,…
Il refuse ainsi de faire sa tournée,
D’offrir du rêve aux uns, aux autres une trêve
En transpirant dans sa barbe chantournée
À la suite de cette nuit trop brève
Qui, s’il le faut, est mensonges et menteries
Aussi. Oui, c’est fini la plaisanterie !
Non, rassurez-vous Enfants de tous pays,
Ce texte est une fable. Nul n’a trahi
Votre lourd secret et c’est bien dommage :
Tant qu'un "Grand" croira que vous existez,
Là, on continuera à vous fêter,
Ailleurs, à retrouver votre bel âge !
Cette année à la fin de votre repas.
Réveillonnez, amusez-vous en famille
Riez sous le gui et le houx en ramille,
Allumez votre cheminée à grand feu,
Il ne viendra pas, au cœur du silence,
La ramoner, bousculer le pare-feu
Au pied du sapin qui fait vigilance,
Pour déposer ses cadeaux et ses présents
Ses rennes n’sont pas pourtant agonisants…
Oc, le père Noël ne passera pas,
C’est sûr. Ne laissez donc pas à ce sherpa
De quoi se restaurer, là, ni même boire,
Les souris en useraient comme pourboire !
Il ne serait malade ni en prison
Mais aucun de ses nains fidèles n’arrive
À le faire revenir à la raison.
Plus les jours vont, plus il va à la dérive.
La fête sera fort triste cette année ;
Son absence peut même la condamner.
Si notre vieux Noël ne passe pas
C’est qu’hélas les enfants… n’existeraient pas.
Enfin plus. On le lui a dit. Sympathique !
À quoi bon traîneau, jouets, froid ou éthique,…
Il refuse ainsi de faire sa tournée,
D’offrir du rêve aux uns, aux autres une trêve
En transpirant dans sa barbe chantournée
À la suite de cette nuit trop brève
Qui, s’il le faut, est mensonges et menteries
Aussi. Oui, c’est fini la plaisanterie !
Non, rassurez-vous Enfants de tous pays,
Ce texte est une fable. Nul n’a trahi
Votre lourd secret et c’est bien dommage :
Tant qu'un "Grand" croira que vous existez,
Là, on continuera à vous fêter,
Ailleurs, à retrouver votre bel âge !
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