À la façon des édito’ pour Rue des Fables
« Ah ben là, je suis sur le cul ! » me disait, naguère, sous la lune, ce faux-derche de rectum de l’Académie où j’officie ici en sursis car, dans ce monde, tous les jours le soleil chasse la lune. Elle savait de quoi elle causait, cette gueule de raie, vraie face de de fesse comme diraient les Anglais, car elle n’en manquait pas d’ordinaire vu que ce quidam, vulgus pecum qui aurait, dit-on, le feu au cul, était séant par la volonté d’une de ces « amitiés particulières » qu’évoquait, jadis, Serge Lama, auteur jamais dans une mauvaise lune, qui mérite tout sauf des coups de pied au cul.
En effet, depuis la pleine lune, me voilà édité… et sur papier. J’ai décroché la lune que j’avais demandée. Et sans avoir à payer de ma personne ni grever de mon maigre pécule de gréviste. Je crois que je vais aller au Casino le plus proche, tenter un croupier, homme croupion s’il en est, voir si le culot me permet d’avoir aussi du bol au jeu même si je cultive, par ailleurs, plutôt l’art du « je » entre autres vieilles lunes. Mes ineffables fables affables sont couchées en un opuscule. Elles ont donc l’honneur d’un ISBN qui fera mon quatre heures et mes autres repas aussi. Jusqu’à la repue. Sans répit ni repos. 2019 ce sera donc pas qu’un anus horribilis quoi qu’en pensent les trous du cul à croupe afro’, grands amateurs et mateurs de ces navets navrants, films au demeurant, que l’on accole ordinairement à la 17e lettre de notre alphabet
Il faut dire que, quoiqu’étant souvent dans la lune, je me suis remué le popotin pour qu’il en soit ainsi et qu’au train où allaient les choses l’affaire n’était pas gagnée pour que se fit cette lune de miel. Se remuer le fiâsse était condition sine qua non. Ces mots-là qui n’aiment pas eux que soient voilée la face d’une femme. Ils sont dans un latin de couventine et visent - sans le toucher - à remonter quelque peu le niveau de ce qui précède qui ne vaut pas un poster rieur de qui, geignard à fignard, voudrait me tanner le cuir à l’endroit le plus charnu de ma personne. C’est la base de tout pour qui aime à ce que chacun s’occupe de ses fesses. Tout le monde en ayant, pourquoi certains, parmi lesquels d’aucuns qui les serrent d’ordinaire, cons comme la lune, auraient-ils plus de cul que d’autres me direz-vous ? Quoi qu’on dise, quoi qu’on fesse, nul être humain qui n’a pas le cul entre deux chaises, ne peut répondre sur le fond à cette question sans se casser le cul jusqu’à la Saint Luc ; et encore, s’ils sont dans une bonne lune. Mais voilà, comme en un « temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître », dans le peloton des rimailleurs et écrivailleurs - mais moi j’ai mis ma plume… à la main - qui aiment à se faire voir ailleurs, comme Laurent, j’ai fait mon trou, Fignon, moi qui prône le cul mais nique face à ceux qui serrent les fesses sur l’étroitesse de leur esprit !
Avec mes jeux de mots laids pour gens bêtes de derrière les fagots, moi qui n’ai pas un panier pris par les gens de la ville-ville de la chanson populaire, j’ai donc eu du fion sans avoir le fameux sourire du plombier qui fait exploser le corps sage de tant de femmes callipyges qui, bien ou non, se fessier à la maison, notamment à Bâle, qui est un vrai trou comme chacun sait. Certaines autres dames perdent le boule en même temps que la boule comme ces Fanny provençales qui, lors des jeux de boules - on tourne toujours autour de ça, en petits cochonnets que nous sommes - dévoilent une pleine lune qu’elles laissent embrasser par les vingt culs qu’humilient les vingt coeurs les mieux assis. Pour ne pas finir le cul par-dessus tête, le public qui tombe de la lune qu’on lui a promise souvent, faux-cul en diable, feint de ne rien voir ni savoir quand cons fessent le prieur et cons vaincus refusent de quitter leur trône, voulant rester en selle.
La fourche caudine de la censure, qui est comme cul et chemise avec le trident de Satan, au point qu’on ne sait plus qui fait la liquette, a ce matin la tête dans le cul et ne cesse d’aboyer à la lune que j’ai mordue à pleines dents. Elle ne me fait pas baisser la tête quoiqu’elle me botte le cul, avec raison, sans fin. Si ça ce n’est pas avoir du cul… Et gros comme un département !… Avec ma face de lune, j’ai donc le cul bordé de nouilles en attendant de nouvelles lunes. Oui, il y a bien un « n » moi qui suis pourtant pas porte de derrière et donc sans haine de l’aine comme de l’Aisne…
La lune, n’en déplaise les culs bénis, sans déni, et la mienne en particulier, n’a rien à craindre des loups à qui on la fait voir en plein midi… Alors fabuleusement vôtre !
En effet, depuis la pleine lune, me voilà édité… et sur papier. J’ai décroché la lune que j’avais demandée. Et sans avoir à payer de ma personne ni grever de mon maigre pécule de gréviste. Je crois que je vais aller au Casino le plus proche, tenter un croupier, homme croupion s’il en est, voir si le culot me permet d’avoir aussi du bol au jeu même si je cultive, par ailleurs, plutôt l’art du « je » entre autres vieilles lunes. Mes ineffables fables affables sont couchées en un opuscule. Elles ont donc l’honneur d’un ISBN qui fera mon quatre heures et mes autres repas aussi. Jusqu’à la repue. Sans répit ni repos. 2019 ce sera donc pas qu’un anus horribilis quoi qu’en pensent les trous du cul à croupe afro’, grands amateurs et mateurs de ces navets navrants, films au demeurant, que l’on accole ordinairement à la 17e lettre de notre alphabet
Il faut dire que, quoiqu’étant souvent dans la lune, je me suis remué le popotin pour qu’il en soit ainsi et qu’au train où allaient les choses l’affaire n’était pas gagnée pour que se fit cette lune de miel. Se remuer le fiâsse était condition sine qua non. Ces mots-là qui n’aiment pas eux que soient voilée la face d’une femme. Ils sont dans un latin de couventine et visent - sans le toucher - à remonter quelque peu le niveau de ce qui précède qui ne vaut pas un poster rieur de qui, geignard à fignard, voudrait me tanner le cuir à l’endroit le plus charnu de ma personne. C’est la base de tout pour qui aime à ce que chacun s’occupe de ses fesses. Tout le monde en ayant, pourquoi certains, parmi lesquels d’aucuns qui les serrent d’ordinaire, cons comme la lune, auraient-ils plus de cul que d’autres me direz-vous ? Quoi qu’on dise, quoi qu’on fesse, nul être humain qui n’a pas le cul entre deux chaises, ne peut répondre sur le fond à cette question sans se casser le cul jusqu’à la Saint Luc ; et encore, s’ils sont dans une bonne lune. Mais voilà, comme en un « temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître », dans le peloton des rimailleurs et écrivailleurs - mais moi j’ai mis ma plume… à la main - qui aiment à se faire voir ailleurs, comme Laurent, j’ai fait mon trou, Fignon, moi qui prône le cul mais nique face à ceux qui serrent les fesses sur l’étroitesse de leur esprit !
Avec mes jeux de mots laids pour gens bêtes de derrière les fagots, moi qui n’ai pas un panier pris par les gens de la ville-ville de la chanson populaire, j’ai donc eu du fion sans avoir le fameux sourire du plombier qui fait exploser le corps sage de tant de femmes callipyges qui, bien ou non, se fessier à la maison, notamment à Bâle, qui est un vrai trou comme chacun sait. Certaines autres dames perdent le boule en même temps que la boule comme ces Fanny provençales qui, lors des jeux de boules - on tourne toujours autour de ça, en petits cochonnets que nous sommes - dévoilent une pleine lune qu’elles laissent embrasser par les vingt culs qu’humilient les vingt coeurs les mieux assis. Pour ne pas finir le cul par-dessus tête, le public qui tombe de la lune qu’on lui a promise souvent, faux-cul en diable, feint de ne rien voir ni savoir quand cons fessent le prieur et cons vaincus refusent de quitter leur trône, voulant rester en selle.
La fourche caudine de la censure, qui est comme cul et chemise avec le trident de Satan, au point qu’on ne sait plus qui fait la liquette, a ce matin la tête dans le cul et ne cesse d’aboyer à la lune que j’ai mordue à pleines dents. Elle ne me fait pas baisser la tête quoiqu’elle me botte le cul, avec raison, sans fin. Si ça ce n’est pas avoir du cul… Et gros comme un département !… Avec ma face de lune, j’ai donc le cul bordé de nouilles en attendant de nouvelles lunes. Oui, il y a bien un « n » moi qui suis pourtant pas porte de derrière et donc sans haine de l’aine comme de l’Aisne…
La lune, n’en déplaise les culs bénis, sans déni, et la mienne en particulier, n’a rien à craindre des loups à qui on la fait voir en plein midi… Alors fabuleusement vôtre !
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