Tentative de texte en caló en hommage à Loupzen qui me l’a inspiré
Des Romanos, plajo au bec, se mal tenaient,
Car leurs seize berges, sur leur endosses
Leur pesaient vraiment lourd,… comme leur acné.
Ils attendaient sans l’espérer que ces rosses
De Schmitts ne viennent, sans latche, les déloger
- Devel ! tous ces paysans ça bave
Sur les Romanos et ça poucave -
Alors, là, adja au plus loin sans déroger !
Pour passer le temps, ces tiknos penavent
Mais pas de criave, ni de chourave
Quand le niglo hélas vient à manquer,
Ni de ces narvalos qui font tant déparler
Des manouches qui aimeraient font à planquer :
On les croit bons qu’à maraver, même efflanqués
Quand le mol qui coule leur échauffe
Un sang bouillant jusqu’à la surchauffe ;
Leur surin, ici, là, vont les gratouiller ?!
Ceux-là voudraient bien qu’on vienne à chatouiller
Un pelo où le printemps fait la sève
Monter mais toutes les raclis des clans du camp
On n’y touche pas. Même pas en rêve.
Même pas du bout de l’acái, Vils Croquants !
« Dicave la gadji. Choucard son boule !
Un’ cañi à rupin à bouillaver. Sûr !
- Bah avec ta tronche de gail, ça roule
Pas !… Et là ta maraji, va, c’est de l’impur…
Elle fait bander que tchi : faudrait, ma mère,
Avoir vraie bocata pour vouloir en bouffer.
- Tu me cingares là !… T’as le trac, pépère ?!
Zinda, tu veux tringler avant d’finir moulo ?
- Un Rom il fait et évite de penave
Sinon la vie, Balichó, il se pourave ! »
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