Sur une toile d’Elisa, décembre 2024
C’est l’éther étal, l’espace de glace
Vide plein de vie qui tant parle aux cœur ;
Un temps sans durée qui fort entrelace
Les célestes couleurs et fait de sons choeur.
C’est mouvement lent mais perpétuel
De fractions froides, fragments de fractales.
Ces particules et parties, jeux cruels,
S’épousent et se puis repoussent, létales.
Cette marge immense et, je crois, sans marges,
Sans distance, il faut que j’y fasse voile :
Limites et bornes font prendre le large.
Aux champs magnétiques à fleur d’étoiles,
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