Depuis le temps que j’attends
Distant du temps qui se tend
Et se distend en instants
Crépitants ou cahotants
C’est pourtant temps existant
Depuis le premier printemps
Qui se détend va mutant
Comptant sur lui seul flottant
Car il se sait las coûtant
Qu’on le voit s’impatientant
Car ce temps m’est déroutant
Envoûtant ou dégouttant
Et non content pour autant
Je le voudrais envoûtant
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