Sans en avoir vraiment l’envie
Je te dis : « Au revoir, la vie ! »
Je pars pour un sommeil sans rêve,
Pour un de ces repos sans sève
Dans les limbes d’Anesthésie.
For les saveurs d’ambroisie,
Sans l’excuse de la fatigue,
Je sombre et se brisent les digues
De ma volonté, puis s’éteint
Mon œil perdu dans l’indistinct.
Ce ne sera qu’une sieste.
Un bref au-revoir à la vie.
Sûr c'est dur. Et c’est froid du reste !
Et puis retour sans préavis,
Peut-être… si j’en ai envie !
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