J’ai bien assez de mal à vivre ma vie
Pourquoi donc voudrais-je régenter la vôtre ?
Je n’ai rien d’un gourou, d’un faiseur d’apôtres,
Et mes fables ne sont qu’envies et qu’avis.
Ce ne sont que miettes, graines d’épeautre
Semées aux vents d’un temps qui nous ravit
Tout, une sorte de guide de survie
Pour aider à réfléchir par et pour l’Autre.
Écrire m’est une planche de salut
Alors que notre société se vautre
Dans ce qu’elle estime être ses plus-values
Qui, las, nous font oublier jusques aux Nôtres :
La fatuité qui, parfois, nous exclut
La vacuité qui nous happe, goulue,…
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