Pour la faiseuse d’Albises
Oui, Géno s’ingénie…
Bien plus qu’Eugénie !
Même si ça la gêne,
Elle qui fierté bannit,
Avouons-le sans peine :
Géno a du génie
Quand elle chante genêts,
Art, feu fou, nouveau-né
Ou… petit déjeuner.
Ce sont là vers d’anis
Que nul ne renie !
Qui a dit « Que nenni ! » ?
Qui nie là son génie ?
Ses mots mettent à genou !
Tant pis pour les ranis
Qui, soit dit entre nous,
Ne pondent que sanies
Et sons sortis du nid
Ou l’autre, Laurena,
Qui la morigéna
Comme l’on hennit
En cent lignes honnies.
Géno a du génie,
C’est dit sans vilenie,
Car, comme une ingénue,
Et ça nous rajeunit
Elle parle à cœur nu,
Et stance sans manie
Sortant or de cranies
Quand d’autres vont jeûnant,
Mot gêné, ton gênant,
N’écrivant que dénis
Ou ode à Saint-Denis.
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