Le volet de la persienne miaule
Sous le vent qui la caresse et qui la frôle.
Tu t’es levée. De l’aube tu tiens le rôle.
La croisée s’éclaire enfin de cette aurore
Qui donne à nos amours l’âge des « encore ».
Ici, point de baie qui bée pour souligner
Tes courbes qui feraient d’autres se signer,
Ni de pénombre redessinant tes formes.
Le clair-obscur, avec la nuit uniforme,
Ayant trépassé, reste le contre-jour
Qui embrasse et esquisse, comme un toujours
Sans sombreur, la féline et douce cambrure
De ta silhouette qui, à l’embrasure
Embrasée, fait rideau de chair délicat
Face à ce matin frais comme du mica
Qui nous fait oublier que l’on est « quinquas ».
Sous le vent qui la caresse et qui la frôle.
Tu t’es levée. De l’aube tu tiens le rôle.
La croisée s’éclaire enfin de cette aurore
Qui donne à nos amours l’âge des « encore ».
Ici, point de baie qui bée pour souligner
Tes courbes qui feraient d’autres se signer,
Ni de pénombre redessinant tes formes.
Le clair-obscur, avec la nuit uniforme,
Ayant trépassé, reste le contre-jour
Qui embrasse et esquisse, comme un toujours
Sans sombreur, la féline et douce cambrure
De ta silhouette qui, à l’embrasure
Embrasée, fait rideau de chair délicat
Face à ce matin frais comme du mica
Qui nous fait oublier que l’on est « quinquas ».
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