Tant pis si ça tousse ou si ça glousse,
Ma mie, bien plus que ta frimousse
Ou que ta lune qui se trémousse,
Je préfère cette housse rousse
À la mousse humide et des plus douces
Que tant j’explore, pouce après pouce,
Au gré de carousses en cambrousse
Où, en surpousses, des parfums poussent.
Quand, cent frissons sans frousse, je trousse
Par mes doudouces et tendres secousses
Retrousse cette brousse aigre-douce,
Aimables escousses à la rescousse,
Elle met un feu fou aux gargousses
De ma gousse, amie, laissée en lousse,
Que jamais, oh non, tu ne repousses,
Tant pis si ça tousse ou si ça glousse.
Ma mie, bien plus que ta frimousse
Ou que ta lune qui se trémousse,
Je préfère cette housse rousse
À la mousse humide et des plus douces
Que tant j’explore, pouce après pouce,
Au gré de carousses en cambrousse
Où, en surpousses, des parfums poussent.
Quand, cent frissons sans frousse, je trousse
Par mes doudouces et tendres secousses
Retrousse cette brousse aigre-douce,
Aimables escousses à la rescousse,
Elle met un feu fou aux gargousses
De ma gousse, amie, laissée en lousse,
Que jamais, oh non, tu ne repousses,
Tant pis si ça tousse ou si ça glousse.
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