Je passe le temps à dénombrer
Les ombres des pièces obombrées
Où traînent mon pas
Mes mea culpa
La pénombre est habitée par toi
Nombre d’esquisses laissent pantois
Sous les catalpas
Où las tu n’es pas
Ma raison pourrait ainsi sombrer
Tant elle est là par toi encombrée
Pourtant tu n’es plus
Et je n’en peux plus
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