Dans ce parc qui repousse béton et bitume,
Sans regret gourd et sans rémanente amertume,
Sous les traits de blanches nuées tout étirées
Qui semblent, enfin, emporter notre hiver plus durable
Qu’une saison vers les plus lointaines contrées,
Tous les arbres offrent au soleil timide leur râble
Et leurs branches encore duvetées. Allégées,
Dans un décor désembrumé, en bois alerte,
Là, elles s’accrochent à l’espoir de nuits abrégées,
À la venue de nues ravivées, découvertes,…
Déjà, on sent poindre en elles des jours nouveaux
En sève suave et l'envie du renouveau…
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