D'après une photo de Marc-Yvan Custeau (6 juillet 2017)
Il est un instant, l’aube revenue,
Où la lumière est suspendue aux nues
Où les heures vont retenant leur souffle,
Accrochées à des nuages en écoufles.
Il est un instant, l’aube revenue,
Où la lumière est suspendue aux nues
Jusqu’à ce que l’éther à nouveau respire
L’aurore nouvelle qui, tout d’ors, transpire.
Il est un instant, l’aube revenue,
Où la lumière est suspendue aux nues
Qu’on voudrait voir moment qui pantoufle
Car la nuit d’ennuis se désenmitoufle.
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