Ah ! prétendre
À connaître, un jour, l’Édition
C’est, las, souffrir l’extraordinaire
Passion de la création
Puis attendre…
Mais attendre
Assèche en vous l’inspiration
Et dessèche votre imaginaire
Sans aucune récréation
Pour distendre
Ou détendre
Un long temps de glaciation,
Fait de cent questions liminaires,
S'angoissant sans distanciation.
Car pour tendre,
Oui prétendre
À connaître, un jour, l’Édition
On subit des doutes rubanaires,
Des craintes sans expiation,
À attendre.
Sans entendre,
Que, dans la renonciation
Proche, survit l’espoir mercenaire
Qui offre au temps sans filiation
De s’ étendre…
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