Après avoir entendu « Le dernier des cons » (Cl. Lemesle & G. Bécaud)
Dans ce monde tout d’intelligences
Où règnent les vautours, les faucons,
Qui ne sont qu’ordres et exigences,
Je fais les choses avec diligence,
Et le cœur toujours au balcon,
Quand eux, ils consignent le flacon
Et son contenu, même aux malades :
Je suis le dernier des cons
Et, donc, vous offre ici ma balade…
Où règnent les vautours, les faucons,
Qui ne sont qu’ordres et exigences,
Je fais les choses avec diligence,
Et le cœur toujours au balcon,
Quand eux, ils consignent le flacon
Et son contenu, même aux malades :
Je suis le dernier des cons
Et, donc, vous offre ici ma balade…
Dans ce temps tout à l’intelligence
Où chacun s’enferme en son cocon,
Et ne regarde plus l’indigence
Ou le malheur qu’avec négligence,
J’ai, pour qui survit sous les flocons,
D’ici, d’ailleurs, blême ou rubicond,
Un sourire, un mot,… sans plus de salades :
Je suis le dernier des cons
Et, donc, vous offre ici ma balade…
Alors qu’hélas, la désobligeance
Est la norme des « Yakafocons »
Je reste honnête par exigence,
Naïf face à leur intransigeance,
En un mot « homme », genre Ducon
Pour ces bons manieurs d’ostrakons,
Sujet à reproches et gueulades :
Je suis le dernier des cons
Et, donc, vous offre ici ma balade…
Pourtant, dans ces liens inféconds,
Je reste moi, malgré l’escalade :
Je suis le dernier des cons
Et, donc, vous offre ici ma balade…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire