Assis, seul, saoul, dans l’ombre, Arsène
Suit une scène, ici. Salé,
Le sensuel s’y fait obscène.
Entre une splendeur hâlée
Et lui, le vice a installé,
Dans l’opaline
Des spots, ses rets serrés scellés…
Ah, la géline !
Elle suit les sons, sente malsaine,
Sans rien celer, ni remballer,
Elle effeuille pour ce mécène,
Face à la salle dessalée,
Sentiers et secrets dévoilés,
La moue maline,
Elle insinue et fait aller,
Sa main câline…
Les yeux las, à ras la vallée
Et les collines,
Il la boit et veut l’avaler
Comme Ogre dîne.
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