Les pieds dans la rizière à l’orée des montagnes,
Au parfum de bruyère, au pays de cocagne,
Le temps d’une prière, au souffle des soirées
« Baguettes & cuillère », on vient à vous narrer
Les mains de l’ouvrière ou la guerre et ses bagnes.
On se sent obligé, sans façon, sans décret,
D’un regard affligé, ici, là, d’un sourire
Qui n’a rien exigé, aussi fier que discret.
Au diable rédiger, nul besoin de traduire.
Auprès de la rivière à l’heure des marées,
Par les fondrières des chemins de campagne
Devant une théière, on vient là s’égarer
Rien n’est à corriger.
Rien n’est à négliger.
Leur sablier figé,
Au vrai, sans fustiger…
Le temps d’une prière, au souffle des soirées
« Baguettes & cuillère », on vient à vous narrer
Les mains de l’ouvrière ou la guerre et ses bagnes.
On se sent obligé
D’un regard affligé
Qui n’a rien exigé.
Au diable, rédiger !
D’un regard affligé, ici, là, d’un sourire
Qui n’a rien exigé, aussi fier que discret.
Au diable rédiger, nul besoin de traduire.
Au parfum de bruyère,
Le temps d’une prière,
« Baguettes & cuillère »,
Les mains de l’ouvrière…
Rien n’est à corriger, tout ne peut que séduire.
Rien n’est à négliger, l’aveu ni le secret.
Leur sablier figé nous ramène au concret,
Au vrai sans fustiger, au simple sans le dire.
Les pieds dans la rizière,
Auprès de la rivière,
Par les fondrières,
Devant une théière,…
Devant une théière,…
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