Nouvelle version
Depuis toujours,
Au chaud pays de la muscade,
Quand reviennent mascarades,
Au long du jour,
La parade qui cavalcade
N’est que jeux, joies et pétarades…
En brefs séjours,
Les zinzins du canton scintillent,
Chantent en défilés qui brillent…
À Contrejour,
Des confettis en embuscade,
Des serpentins en débandade,
Pour tout bonjour.
Robes tout d’ajours,
Tout est farce. Le strass habille
Le stress qui, dès lors, se gambille.
Aux bell’-de-jour,
Folies, furie, fougue, fièvre,…
Aux gars rire et sourire aux lèvres :
Bonheur du jour !
À demi-jour,
Crient des travestis éphémères,
Jouent les langues de belles-mères.
Dans le faux-jour,
Volent paillettes de lumières
Qui font oublier chaumières
Et abats-jour…
C’est bref séjour
Dans la débauche des masques
Et le carrousel de cent basques !
Au point du jour
S ‘éteignent les feux et la transe,
Délires, sarabande et danses
Sur un bonjour…
Au chaud pays de la muscade,
Quand reviennent mascarades,
Au long du jour,
La parade qui cavalcade
N’est que jeux, joies et pétarades…
En brefs séjours,
Les zinzins du canton scintillent,
Chantent en défilés qui brillent…
À Contrejour,
Des confettis en embuscade,
Des serpentins en débandade,
Pour tout bonjour.
Robes tout d’ajours,
Tout est farce. Le strass habille
Le stress qui, dès lors, se gambille.
Aux bell’-de-jour,
Folies, furie, fougue, fièvre,…
Aux gars rire et sourire aux lèvres :
Bonheur du jour !
À demi-jour,
Crient des travestis éphémères,
Jouent les langues de belles-mères.
Dans le faux-jour,
Volent paillettes de lumières
Qui font oublier chaumières
Et abats-jour…
C’est bref séjour
Dans la débauche des masques
Et le carrousel de cent basques !
Au point du jour
S ‘éteignent les feux et la transe,
Délires, sarabande et danses
Sur un bonjour…
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