Petite fable affable
Indolence, procrastination
Paraissent tout à plein insupportables
À qui sait qu’un petit peu d’action
Ou, mieux, une saine réaction
Change en situation acceptable
Ce qui, de prime abord, est contestable…
Un cafard aurait bien voulu
Botteculer ses rejetons ignares,
Après avoir, de force forcé, lu
Leurs résultats scolaires, chose rare
Chez lui : quelle idée avait donc
Traversé son esprit alors ?… Mystère !
Il était, las, prompt à jouer du jonc
Sur le dos de ses gnares, cet austère
Mais là, les postério-propulser
Pourrait peut-être enfin leur impulser
L’élan nécessaire et explicite
Au bon travail et à la réussite…
Pareille idée faisait grogner et gronder
Ces gredins, et tous les censeurs bégueules,
Pour qui la fessée est acte infondé
Et violence le moindre coup de gueule.
Et notre blatte voulait en pousser
À ouïr qui, à chaque réprimande,
Ne s’explique que d’un banal « Je sais ! »,
Laconique et lassé, sans autre amende
Honorable, n’ayant guère d’effet
Sur l’avenir quand un simple « Je fais ! »
Pouvait tout changer à l’état des choses
Sans qu’on y ajoute sermon ni glose.
Paraissent tout à plein insupportables
À qui sait qu’un petit peu d’action
Ou, mieux, une saine réaction
Change en situation acceptable
Ce qui, de prime abord, est contestable…
Un cafard aurait bien voulu
Botteculer ses rejetons ignares,
Après avoir, de force forcé, lu
Leurs résultats scolaires, chose rare
Chez lui : quelle idée avait donc
Traversé son esprit alors ?… Mystère !
Il était, las, prompt à jouer du jonc
Sur le dos de ses gnares, cet austère
Mais là, les postério-propulser
Pourrait peut-être enfin leur impulser
L’élan nécessaire et explicite
Au bon travail et à la réussite…
Pareille idée faisait grogner et gronder
Ces gredins, et tous les censeurs bégueules,
Pour qui la fessée est acte infondé
Et violence le moindre coup de gueule.
Et notre blatte voulait en pousser
À ouïr qui, à chaque réprimande,
Ne s’explique que d’un banal « Je sais ! »,
Laconique et lassé, sans autre amende
Honorable, n’ayant guère d’effet
Sur l’avenir quand un simple « Je fais ! »
Pouvait tout changer à l’état des choses
Sans qu’on y ajoute sermon ni glose.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire