Petite fable affable
Pour un canard, c’était un vrai connard !
Tout le monde le disait dans la mare.
Ce colvert-là morguait, l’air goguenard,
Chacune et chacun. Tous en avaient marre.
Il déprisait les poissons les plus peinards
Et méprisait l’oiseau qui tintamarre
Dans sa grise livrée. Pauvres nanars !
Trop au-dessus d’eux, lui, que tant chamarrent
De belles couleurs, est un snobinard !
Il n’a qu’insolence pour la gammare
Ou l’insecte bruyant et fouinard.
Son arrogance, jamais à l’amarre,
Pour le collet monté comme l’anar’,
Indispose aussi les siens. Mais démarre,
Par un clair matin, la chasse au canard,
À la grand joie des hôtes de la mare.
Que tu l’aies serré, dur, blanc, bleu, ouvert ,…
Ne te monte pas trop le col, l’Apôtre,
Tu pourrais finir détesté des autres
Et triste victime d’un fait divers !
Tout le monde le disait dans la mare.
Ce colvert-là morguait, l’air goguenard,
Chacune et chacun. Tous en avaient marre.
Il déprisait les poissons les plus peinards
Et méprisait l’oiseau qui tintamarre
Dans sa grise livrée. Pauvres nanars !
Trop au-dessus d’eux, lui, que tant chamarrent
De belles couleurs, est un snobinard !
Il n’a qu’insolence pour la gammare
Ou l’insecte bruyant et fouinard.
Son arrogance, jamais à l’amarre,
Pour le collet monté comme l’anar’,
Indispose aussi les siens. Mais démarre,
Par un clair matin, la chasse au canard,
À la grand joie des hôtes de la mare.
Que tu l’aies serré, dur, blanc, bleu, ouvert ,…
Ne te monte pas trop le col, l’Apôtre,
Tu pourrais finir détesté des autres
Et triste victime d’un fait divers !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire