Là, la nuit est claire et plus sombre
De présences que rien n'endort.
Tout n'est que ruines et décombres
Ou masses qui vous mettent hors,
Vous effraient sans le moindre effort,
Toutes puissantes,
Qu'elles se fassent noirs condors
Ou Caressantes
Et la nuit éclaire des ombres
Vampires, montres, Belphégor
Hantent en recoin la pénombre,
La font se mouvoir aux abords
De notre imagination. Fort
Envahissantes
Sont ces silhouettes, gaurs
Menaçantes.
La peur s'insinue, là, dehors,
Vous vient, croissante,
De formes cernant vos sabords,
Bruissantes…
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