Ainsi l’Homme serait, Blaise, « roseau pensant ».
Modelant à la ronde et ordonnant le monde ;
Mais à tout bout d’ondes, à force de faconde,
L’Humain est plutôt un roseau bien mal-pensant !
Non, l’Homme n’est, pour moi, qu’ « un roseau qui pressent »
L’aubaine immonde en toute idée inféconde ;
La servitude abonde, et peurs, et pleurs fondent
L’Humanité peuplée de ces « roseaux pressants ».
L’Homme est plus sûrement « un roseau oppressant »
Qui tue les ramondes pour des “raisons profondes”,
Forclos qui vagabonde ou enchaîne qui fronde.
Oui l’Homme est un roseau qui vit en fracassant
Le chêne à tête blonde aux vents qui furibondent…
Mais à quoi réfléchit donc « ce roseau pensant » ?
Modelant à la ronde et ordonnant le monde ;
Mais à tout bout d’ondes, à force de faconde,
L’Humain est plutôt un roseau bien mal-pensant !
Non, l’Homme n’est, pour moi, qu’ « un roseau qui pressent »
L’aubaine immonde en toute idée inféconde ;
La servitude abonde, et peurs, et pleurs fondent
L’Humanité peuplée de ces « roseaux pressants ».
L’Homme est plus sûrement « un roseau oppressant »
Qui tue les ramondes pour des “raisons profondes”,
Forclos qui vagabonde ou enchaîne qui fronde.
Oui l’Homme est un roseau qui vit en fracassant
Le chêne à tête blonde aux vents qui furibondent…
Mais à quoi réfléchit donc « ce roseau pensant » ?
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