Frère Sourire, ce bon raseur mal rasé,
Du haut de son mètre soixante d’altitude,
Prend son monde de haut, désormais, pas blasé
D’avoir tant comploté pour au mieux se caser,
Marchant sur les autres tout à sa latitude.
Ni lisse ni poli, Sieur Crâne d’Obtus,
Actif du neurone moins que de la glotte,
A pour vraies qualités, c’est bien entendu
La franchise, la taille et la hargne falote
Du petit roquet qui croit que tout lui est dû.
Quand d’autres se laissent porter par toute vague,
Lui en fait, pour que sa cause connaisse effets.
La douleur des autres lui est, las, bonne blague.
Roué se pensant fort rusé, sûr de son fait
Et d’avoir gagné, d’un vil bon mot, il les schlague…
Ni lisse ni poli, Sieur Crâne d’Obtus,
L’air cafard, cherche des puces à ses bons collègues
Qui n’appartiennent pas au cercle d’imbus
D’eux-mêmes qu’il préside et, au loin, relègue
Obscurs, pairs ou sans-grade,… anonyme cohue.
Là, malheur aux vaincus !… Il est le roi du monde,
Insensible à ce qui n’est pas son intérêt
Il parade comme un coq, plus vil et immonde
Qu’avant, plus arrogant que ces coupe-jarrets,
Saints satrapes régnant sur quelque tiers-monde !
Ni lisse ni poli, Sieur Crâne d’Obtus,
Qui se croit un renard, mais n’est qu’un blaireau râle
Comme un pou, dès qu’on contrarie l’individu
Si indispensable au monde tant sa morale
Tient du morpion et du vain loquedu.
Il savoure, sans fin et sans foi, sa victoire.
Mais rien, dit-on, n’est simple en ce monde-ci :
Il fut décidé par ses chefs, un Directoire
Craignant moins sa rogne que son impéritie,
Malgré ses amis, une autre fin à l’histoire.
Ni lisse ni poli, Sieur Crâne d’Obtus,
Ne se mouche pas, en rien, du pied gauche…
Ni du droit d’ailleurs et son manque de vertu
Lui est comme un blason, un écu dès l’embauche :
Ce loup-ci est d’une peau de vache vêtu.
Le rieur désormais moqué, pleure et divague,
Pestant contre le sort qui devient son lot :
Tout anéanti et balayé par la vague
Par lui-même créée. Il perdit son boulot…
Frère Sourire, est plus amer que l’eau des vagues !
Ni lisse ni poli, Sieur Crâne d’Obtus,
Est fort marri d’être floué de la sorte
Et jure tout haut, qu’on ne l’y reprendrait plus :
Mais il est ce genre qui, mis à la porte,
Trop fier, entre par votre fenêtre et rue !
Du haut de son mètre soixante d’altitude,
Prend son monde de haut, désormais, pas blasé
D’avoir tant comploté pour au mieux se caser,
Marchant sur les autres tout à sa latitude.
Ni lisse ni poli, Sieur Crâne d’Obtus,
Actif du neurone moins que de la glotte,
A pour vraies qualités, c’est bien entendu
La franchise, la taille et la hargne falote
Du petit roquet qui croit que tout lui est dû.
Quand d’autres se laissent porter par toute vague,
Lui en fait, pour que sa cause connaisse effets.
La douleur des autres lui est, las, bonne blague.
Roué se pensant fort rusé, sûr de son fait
Et d’avoir gagné, d’un vil bon mot, il les schlague…
Ni lisse ni poli, Sieur Crâne d’Obtus,
L’air cafard, cherche des puces à ses bons collègues
Qui n’appartiennent pas au cercle d’imbus
D’eux-mêmes qu’il préside et, au loin, relègue
Obscurs, pairs ou sans-grade,… anonyme cohue.
Là, malheur aux vaincus !… Il est le roi du monde,
Insensible à ce qui n’est pas son intérêt
Il parade comme un coq, plus vil et immonde
Qu’avant, plus arrogant que ces coupe-jarrets,
Saints satrapes régnant sur quelque tiers-monde !
Ni lisse ni poli, Sieur Crâne d’Obtus,
Qui se croit un renard, mais n’est qu’un blaireau râle
Comme un pou, dès qu’on contrarie l’individu
Si indispensable au monde tant sa morale
Tient du morpion et du vain loquedu.
Il savoure, sans fin et sans foi, sa victoire.
Mais rien, dit-on, n’est simple en ce monde-ci :
Il fut décidé par ses chefs, un Directoire
Craignant moins sa rogne que son impéritie,
Malgré ses amis, une autre fin à l’histoire.
Ni lisse ni poli, Sieur Crâne d’Obtus,
Ne se mouche pas, en rien, du pied gauche…
Ni du droit d’ailleurs et son manque de vertu
Lui est comme un blason, un écu dès l’embauche :
Ce loup-ci est d’une peau de vache vêtu.
Le rieur désormais moqué, pleure et divague,
Pestant contre le sort qui devient son lot :
Tout anéanti et balayé par la vague
Par lui-même créée. Il perdit son boulot…
Frère Sourire, est plus amer que l’eau des vagues !
Ni lisse ni poli, Sieur Crâne d’Obtus,
Est fort marri d’être floué de la sorte
Et jure tout haut, qu’on ne l’y reprendrait plus :
Mais il est ce genre qui, mis à la porte,
Trop fier, entre par votre fenêtre et rue !
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