Là, sur l’autre face de mes jours,
Quand la nuit s’endort, tend sa voile
Pour sommeiller sous l’or des étoiles,
Se perdent les « jamais », les « toujours »,…
Quand la nuit s’endort, tend sa voile
Pour sommeiller sous l’or des étoiles,
Se perdent les « jamais », les « toujours »,…
L’insomnie m’y guette comme un squale,
M’offrant courts répits et repos gourd.
L’amnésie fuit mon cuir et ma moelle.
Ce requin mord mes pensers secrets
Et dévore jusqu’aux quelques riches
Heures de mes jours qui en sont chiches
Pourtant… Et le vide en moi se crée
Puis quand j’ai l’âme et l’esprit en friche,
L’aube ouvre enfin ses ailes de craie
Et de sang sur un jour qui derviche.
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