Bois de briques, forêt de cheminées
Ma ville n’est qu’une vaste fabrique
Qui boit ces richesses acheminées
Depuis nos terres qu’a parcheminées
Le soleil impitoyable d’Afrique.
Autour de tours, se sont agglutinées
Les courées où nous sommes confinés.
Non loin, la forêt, par coulées, s’imbrique
Au bois de briques.
Le règne de l’usine a dominé
Notre Katanga, a déraciné
Tous ceux venus écrire la rubrique
D’un développement fuyant, lubrique,
Le bois de briques…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire