Les cieux pleurent à nos fenêtres
Des sanglots froids de lourdes larmes irisées
En moi rien ne semble naître
Du chœur crépitant de leur course brisée
Ah qu’il est doux de renaître
Au gré de ces réseaux de rires grisés
Nés de l’amitié des êtres
Quand tout emplis d’un chagrin non-maîtrisé
Les cieux pleurent à nos fenêtres
Le vent attise leur peine déprisée
Mais sa plainte ne pénètre
Pas notre fête et ses chants martyrisés
Les cieux pleurent à nos fenêtres
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