Zacharie nous l’avait dit avant les prophètes
D’aujourd’hui : l’Apocalypse est pour demain.
Qu’un vil virus se soit invité à la fête
Et, lors, on s’en souvient en un tournemain.
Les cavaliers sont de retour dans nos têtes
- Guerre, Conquête, Faim puis Épidémie -
Dans les Textes Saints ce n’est, las, pas à demi,
Que toute l‘Humanité ces frères étêtent !
Si leur ordre d’arrivée a changé, leur défaite
N’est pas venue avec le progrès des Humains :
Et l’on s’inquiète prou pour nos lendemains.
La faute à l’Éco’ aux grand’faims insatisfaites
Qui sacrifie tout, et tous, depuis les Romains,
Mue par l’E.C.O. : un Égoïsme qui l’entête ;
La Cupidité qui est, hélas, un mal commun
Et l’Orgueil qui n’est de nos vices benjamin.
Plus l’Ingratitude qui se joint au quartette…
La Terre est pourrie des plus hauts chemins
Jusqu’au noyau : Pollution estafette
De son vain pillage ; Pandémie qui, par maints
Aspects, est leur fille ; Famine, trouble-fête
Éternelle qui suivra ce grand tsunami.
Viendra la Guerre car il est des esthètes
Qui croient que tous nos problèmes d’éternels thètes,
Par elle, se règlent… entre deux accalmies.
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