Sur « Sans la nommer » de et par G. Moustaki
Je voudrais, sans prétention, vous parler d’elle,
Seule, à la contestation, restée fidèle,
Vague roulante qui tout et tous balaye
Sur les plages inconséquentes où l’on sommeille…
C’est ell’ qu’on dit désinvolte
Et qui, pourtant, se révolte,
C’est elle que tout inquiète
Mais qu’on souhaiterait muette,
C’est ell’ qui sera Demain
Et qui veut se prendre en main,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre,
Jusqu’au bout…
Jusqu’au bout…
Je voudrais, sans prétention, lui rendre hommage.
Par ses manifestations, ses cris de rage,
Elle s’est rappelée, acide, au souvenir
De tous ceux qui décident son avenir…
C’est ell’ qu’on dit désinvolte
Et qui, pourtant, se révolte,
C’est elle que tout inquiète
Mais qu’on souhaiterait muette,
C’est ell’ qui sera Demain
Et qui veut se prendre en main,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre,
Jusqu’au bout…
Jusqu’au bout…
Je voudrais, sans prétention, vous parler d’ell’,
Qu’ell’ soit « Coordination » ou bien FIDeL,
Cette jeunesse qui soudain se réveille
Et lutte, sans réclamer monts et merveilles…
C’est ell’ qu’on dit désinvolte
Et qui, pourtant, se révolte,
C’est elle que tout inquiète
Mais qu’on souhaiterait muette,
C’est ell’ qui sera Demain
Et qui veut se prendre en main,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre,
Jusqu’au bout…
Jusqu’au bout…
Jusqu’au bout…
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