L’ombre de ton regard est le seul souvenir
Émergeant des pages cornées de ma mémoire,
Et l’eau pâle de tes yeux le seul avenir
Que m’ont tissé, sur leur trame élimée, les Moires.
Émergeant des pages cornées de ma mémoire,
Tu fus, es et restes ma seule vocation.
Que m’ont tissé, sur leur trame éliméee, les Moires ?
Ce que les tempêtes pleurent encor’ : la passion !
Tu fus, es et restes ma seule vocation,
Toi qui m’a arraché d’amour à ma roture.
Ce que les tempêtes pleurent encor’ - la passion -
Tu offris à mon cœur ; une folle aventure.
Toi qui m’a arraché d’amour à ma roture
Et au mensonge soyeux des songes captieux,
Tu offris à mon cœur une folle aventure :
Le drap froissé, frôlé, au frisson facétieux.
Et au mensonge soyeux des songes captieux
Je préfère ces nuits que tu désensomeilles,
Le drap froissé, frôlé au frisson facétieux…
La vie est merveille quand tes lèvres s’éveillent !
Je préfère ces nuits que tu désensommeilles…
L’ombre de ton regard est mon seul souvenir ;
La vie est merveille quand tes lèvres s’éveillent
Et l’eau pâle de tes yeux mon seul avenir.
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