Cycle toulousain
La côte pavée, sûr, tu la connais…
Repaire à rupins et autres gens nés
Qui crèchent haut parce qu’ils dominent.
Ils embrassent la ville qui fulmine
Dans ses faubourgs et sous ses cheminées.
Au temps du roi Cézet, les miens menaient,
En braves montanhols rabastinés,
Paître des ouailles là où tu chemines :
La côte pavée.
Comm’ la griffe du greffier couillonné,
Prête à grafinier, prompte à escaner,
J’leur enseigne, à ceuss’ qu’argent illumine,
Que ce n’étaient que des prés qu’on rumine,
La côte pavée !
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