Un amour est passé dans ma vie en comète,
Faisant des feux de joie de bûchers de regrets.
Un amour qui n’était que flamme d’allumette
Incendia mes jours et embrasa mes nuits.
Certains se consument, s’éteignant en larmettes,
Vous desséchant l’âme et le cœur, bon gré, mal gré,
Illuminant au plus loin l’horizon mais omettent
D’éclairer c’est banal, banalités, ennui,…
Or le mien flambe, comme se le permettent
Toujours les brasiers, de douceurs en progrès,…
Je me suis enflammé pour ma p’tite comète
Et aucune étoile, nul soleil ne lui nuit.
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