Étant, par définition,
Souriant et bien aimable,
Je bulle, assis, à ma table
Avec pour seuls compagnons,
D’éprouvantes éprouvettes :
Lions, vaches ou crevettes…
Même toi !
L’oeil grand ouvert et rivé
Au microscope du monde,
J’affabule sur l’immonde,
Dis jusqu’où ont dérivé
Lions, vaches ou crevettes,
Lamas, éléphants, fauvettes,…
Et puis moi !
Je moralise à tous vents,
Paroles vite poussives,
Pleines de poussière, hâtives,
Pour édifier - bien souvent
Pas les enfants ! - sur civette,
Lions, vaches ou crevettes…
Dans leur soie !
Je n’oublie rien ni personne,
Je fustige à tour de bras
Vices, travers scélérats
Ou défauts que nourrissonnent
Lions, vaches ou crevettes…
Montrant d’un doigt droit, louvette
Et puis rois !
Je me penche sans juger
Et goguenard, je raisonne
Sur quoi, parfois, déraisonnent,
À force de préjugés,
Lions, vaches ou crevettes…
Amassés à la sauvette.
Puis je vois… !
Esprit ocieux, plume en l’air,
Je m’épanche au fil de contes
Sur ce qu’on croit à bon compte,
Adages et courants d’air,
Vérités que croient divettes,
Lions, vaches ou crevettes
Et puis oies !
Et j’y reviens sans fléchir,
M’efforçant de faire rire,
Ou, humble, du moins sourire,
Cela fait mieux réfléchir
Lions, vaches ou crevettes
Que tailler vaines bavettes !…
C’est vrai, quoi ?!
Oui, blanchi sous ce harnais
Qui ne m’a pas fait affable,
Puisqu’on n’écrit pas des fables
Ni jeune con ni bien né,
Je plaque pour la buvette,
Lions, vaches ou crevettes…
Et puis bois !
Souriant et bien aimable,
Je bulle, assis, à ma table
Avec pour seuls compagnons,
D’éprouvantes éprouvettes :
Lions, vaches ou crevettes…
Même toi !
L’oeil grand ouvert et rivé
Au microscope du monde,
J’affabule sur l’immonde,
Dis jusqu’où ont dérivé
Lions, vaches ou crevettes,
Lamas, éléphants, fauvettes,…
Et puis moi !
Je moralise à tous vents,
Paroles vite poussives,
Pleines de poussière, hâtives,
Pour édifier - bien souvent
Pas les enfants ! - sur civette,
Lions, vaches ou crevettes…
Dans leur soie !
Je n’oublie rien ni personne,
Je fustige à tour de bras
Vices, travers scélérats
Ou défauts que nourrissonnent
Lions, vaches ou crevettes…
Montrant d’un doigt droit, louvette
Et puis rois !
Je me penche sans juger
Et goguenard, je raisonne
Sur quoi, parfois, déraisonnent,
À force de préjugés,
Lions, vaches ou crevettes…
Amassés à la sauvette.
Puis je vois… !
Esprit ocieux, plume en l’air,
Je m’épanche au fil de contes
Sur ce qu’on croit à bon compte,
Adages et courants d’air,
Vérités que croient divettes,
Lions, vaches ou crevettes
Et puis oies !
Et j’y reviens sans fléchir,
M’efforçant de faire rire,
Ou, humble, du moins sourire,
Cela fait mieux réfléchir
Lions, vaches ou crevettes
Que tailler vaines bavettes !…
C’est vrai, quoi ?!
Oui, blanchi sous ce harnais
Qui ne m’a pas fait affable,
Puisqu’on n’écrit pas des fables
Ni jeune con ni bien né,
Je plaque pour la buvette,
Lions, vaches ou crevettes…
Et puis bois !
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