Quand le calame ou bien la plume
Quand le crayon et le pinceau,
Posent leur regard à la rondeIls nous disent toujours le monde
L’écrivent et le désembrument,
Calligraphiant, en vains ruisseaux,
L’autographe de tous ses charmes,
Ou en décrivant les vacarmes.
Quand le calame ou bien la plume
Quand le crayon et le pinceau,
Mêlent à la ronde leur frondeIls chantent comme ils voient le monde
Lui composant sans amertume
Des vers en portails, en rinceaux,
Des mots qui parfois vous désarment,
Enluminant jusqu’aux alarmes.
Quand le calame ou bien la plume
Quand le crayon et le pinceau,
En lettres, en signes émondentCaprices, détresses du monde,
Notent, volume après volume,
Et ses humeurs, et ses sursauts :
Pleins des jours où il se gendarme ;
Déliés des nuits qui ne sont que larmes.
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