Pourra-t-on donc y mettre un frein
À ce rythme qui nous contraint
À une vaine et folle ronde ?
Je veux descendre de ce train
Un jour… une heure… une seconde !
Quand puis-je chanter des refrains
À ma tout’ belle, à ma gironde
Et lui composer des quatrains ?
Je veux fuir la course du monde
Et tourner le dos au train-train
Un jour… une heure… une seconde !
Retrouvera-t-on cet entrain
Pour découvrir au bras de la blonde
Qui fait de nous un boute-en-train
Notre coin de la mappemonde ?
Je veux descendre de ce train
Un jour… une heure… une seconde !
Quand la vitesse et les lutrins
Cesseront leur diktat immonde
Qui chaque jour plus nous astreint ?
Que nous cesse ce qui émonde
Notre temps, ce qui le restreint
D’un jour… d’un’ heure… d’un’ seconde !
J’en ai assez de qui contraint
Pour que je reste coi ou ponde,
Qui me caresse le chanfrein
Pour ne m’offrir qu’un demi-monde.
Je veux descendre de ce train
Un jour, une heure, une seconde !
À ce rythme qui nous contraint
À une vaine et folle ronde ?
Je veux descendre de ce train
Un jour… une heure… une seconde !
Quand puis-je chanter des refrains
À ma tout’ belle, à ma gironde
Et lui composer des quatrains ?
Je veux fuir la course du monde
Et tourner le dos au train-train
Un jour… une heure… une seconde !
Retrouvera-t-on cet entrain
Pour découvrir au bras de la blonde
Qui fait de nous un boute-en-train
Notre coin de la mappemonde ?
Je veux descendre de ce train
Un jour… une heure… une seconde !
Quand la vitesse et les lutrins
Cesseront leur diktat immonde
Qui chaque jour plus nous astreint ?
Que nous cesse ce qui émonde
Notre temps, ce qui le restreint
D’un jour… d’un’ heure… d’un’ seconde !
J’en ai assez de qui contraint
Pour que je reste coi ou ponde,
Qui me caresse le chanfrein
Pour ne m’offrir qu’un demi-monde.
Je veux descendre de ce train
Un jour, une heure, une seconde !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire